MON BLOG A MOI !

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Je déclare ouvert le 12 459 451 875 ème blog de la planète.

Snif, des fois on arrive à se sentir une toute petite fourmi ridicule.

Donc voilà, mon blog à moi. Un blog où vous trouverez tout et n’importe quoi. L’interface n’est pas complètement terminée, je n’ai pas trop le temps d’en faire plus pour le moment et si je continue à pinailler, ce blog ne verra jamais le jour.

Donc je l’attaque dans l’état, et j’améliorerai certaines choses ensuite… ou pas.

 


 

MODIFS SUR BOUARF

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Entre le dynamisme qui s’appuie sur l’automatisme de la présentation des articles, et le confort visuel pour faciliter la lecture, il n’est pas toujours évident de faire un choix.

Finalement, et ayant plus d’énergie que je ne le pensais, j’ai pris un peu de temps pour modifier la présentation des articles.
Le concept en deux colonnes améliore grandement le confort de lecture. Il donne également un côté « papier » au blog. Mais il m’a obligée à faire des concessions car je ne l’utiliserais pas systématiquement.

Viabloga, mon blogger hébergeur, propose une solution assez aboutie en terme de modularité. Mais, évidemment, on ne dispose pas de la liberté que procure un espace sur un serveur.

De ce fait, les mentions qui figurent à la fin de chaque article ne sont plus dynamiques car il n’est pas possible d’utiliser le code template de viabloga dans les articles eux-mêmes (ou, pour être plus précise, on peut mais il n’est pas interprété). Autrement dit, ces mentions ne se génèrent plus automatiquement et je dois les saisir à chaque fois.
Le premier problème c’est le risque d’erreurs que peut engendrer cette saisie manuelle.
Le second problème, beaucoup plus épineux, c’est que ce sont normalement des liens et que si, pour une raison ou pour une autre, une partie de l’url de viabloga change… je suis bonne pour me coltiner la modification de tous les liens un par un.

J’ai donc opté pour du texte pur et zappé les fonctionnalités de navigation liées à ces mentions.

Après tout, les rubriques étant dans le menu, il n’est pas difficile de déplacer son curseur pour avoir tous les articles d’une d’entre elles. D’autre part, je ne pense pas que beaucoup de personnes naviguent sur les blogs en cherchant à connaître tous les articles écrits à une date précise (et même si c’est le cas, il est possible de rajouter le calendrier ensuite). Quant au lien vers le profil de l’auteur de l’article, je n’en vois pas l’utilité et ce système permettra au contraire de mentionner d’autres auteurs si d’aventure certains se joignaient à moi.

La seconde contrainte inhérente à cette présentation en deux colonnes est qu’il faut que je découpe moi-même le texte pour équilibrer.

Il est évident que je n’ai même pas tenté une validation par la moulinette du W3C, pourquoi se faire du mal inutilement.
Du coup, je me suis fait un logo de validation juste pour moi.

 


 

QUAND AU TAQUET DANS LA VRAIE VIE TU SERAS

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Beaucoup moins de temps à ton blog tu auras à consacrer ...

Voilà, c'était juste pour prévenir mon fan club (qui a osé ricaner au fond ?) que je reviendrais dès la fin de la semaine pour narrer de nouvelles aventures de l'.

Il y a des moments où la vraie vie prend prend beaucoup de place... ce qui n'est pas plus mal du reste. Quoi que là c'est pour bosser... du coup, j'émets une nuance.

Nan c'est pas vrai, j'adore travailler.
Si j'ai pas des commentaires derrière ça.

Comment ça, ça se voit que je n'ai que deux neurones de connectés ce soir.

 


 

REFERENCEMENT : UN POINT C’EST RIEN

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Si la majorité des gens se battent pour arriver à faire référencer leurs pages du mieux possible, avec Bouarf je suis confrontée au problème inverse pour certains passages du blog : comment éviter le référencement de mots sans passer par les astuces images ?

Voilà, je jette une bouteille à la mer. J’appelle au secours. J’implore les maîtres es référencement. Mon souci, que j’ai déjà abordé dans cet article, est le suivant : je fais des articles mensuels sur les requêtes tapées dans les moteurs de recherche et qui amènent sur ce blog. Jusque là, tout va bien. Seulement le fait de citer ces requêtes augmente le nombre de même mots sur ce site, et comme Googgle se base en partie sur le nombre d’occurrences (répétitions) d’un mot pour décider qu’une page correspond à la recherche de l’internaute… je me retrouve avec des visiteurs qui ne cherchent vraiment pas ce qu’ils trouvent.

Lorsque j’ai fait mon dernier article sur les requêtes de recherche, j’avais moyennement envie de me taper des copies d’écran de chacune d’elles pour ensuite les mettre aux mêmes dimensions, puis de les insérer dans l’article. J’ai donc eu une idée de dimanche matin.
Vous devez connaître les idées de dimanche matin ? Il y en a deux catégories. Dans la première, on trouve celles qui nous viennent d’un coup pour s’occuper pendant une petite heure, et qui en fait nous pourrissent la journée complète (ex : « Tiens je vais démonter ma tondeuse pour la nettoyer »). La seconde naît dans les esprits axés sur un objectif principal ce jour-là : en faire le moins possible. Et, fatalement, ces idées-là ne sont pas d’une efficacité exceptionnelle.

Mes points entre les lettres de certains m.o.t.s pour éviter leur référencement, sont issus d’une idée de la seconde catégorie. Et attention quand je ponds une idée du dimanche je ne le fais pas à moitié. Je tape dans le best of. Donc je mets des points et voilà… même pas un frémissement neuronal, même pas une ébauche de « oui mais… ».[suite]

Seulement mes points ne servent à rien.

Centre d'aide Google : "Google ne reconnaît pas les caractères spéciaux tels que le point d'exclamation, le point d'interrogation ou l'arobase (@). Ces caractères sont tellement utilisés que leur insertion dans une recherche ralentirait considérablement le calcul des résultats. De même, l'ajout de signes de ponctuation dans vos recherches pourrait nuire à la pertinence des résultats en raison de l'emploi incohérent de ces signes sur le Web (abréviation " M. " ou " Mr " pour " Monsieur ", par exemple)."

A noter qu’il y a quelques pointures du développement web qui passent sur ce blog et que personne n’a réagit !
Du coup, je me sens un peu moins seule sur ce coup-là. Mais vous allez voir qu’ils font dire qu’ils avaient remarqué mais qu’ils ne voulaient pas me faire de la peine ;o)

Donc j’ai toujours autant de fam’mur dans mes stats de requêtes. J’aurais dû y penser sachant que les points d’interrogation et autres ne servent à rien. Mais non, c’était plus simple comme ça pour un dimanche matin.

imbécile
 


 

CHER PETIT PAPA NOEL...

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Et ça y est, nous y voilà presque ! La dernière ligne droite avant les fêtes de Noël. La période la plus appréciée des commerçants et hypercommerçants, bref la plus appréciée de tous ceux qui s’émerveillent grâce aux « comptes » de Noël.

Noël c’est un sapin, des guirlandes, des chants. Noël c’est aussi une fête religieuse. Si, si, vous pouvez me croire sur parole. Et Noël c’est surtout des cadeaux. Des cadeaux en veux-tu en voilà pour les enfants, tant et tellement que des fois ils ne savent même plus quoi en faire. Sans compter que, et ceux qui ont ou ont eu des jeunes enfants le savent, ils leur arrivent de mieux s’amuser avec les cartons et autres emballages qu’avec les jouets eux-mêmes.
Mais il n’y a pas que les enfants, il y a aussi, nous ! Les grands, les adultes, on aime les cadeaux aussi nous, et les déballer avec délectation…

L’année dernière j’ai eu… rien. Remarquez que ce qu’il y a de bien avec le rien c’est que, d’une part ça ne dépare pas avec la déco de la maison et d’autre part ça n’a pas besoin de pile. Mais c’est normal que j’ai rien eu, puisque je n’avais pas fait ma liste au Père Noël. Donc pour 2005, je ne me fais pas avoir et je m’y prends tôt pour pouvoir voir des jolis paquets enrubannés sous mon roi du salon (ex roi des forêts et futur roi des poubelles).
Pis des fois que mes lecteurs se cotiseraient pour m’acheter tout ça, ça sert à ça Noël après tout ! A croire au Père Noël.


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MON BLOG ME MANQUE

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Et il manque aussi à certains de mes amis qui suivaient avec assiduité mes écrits. Deux constatations qui m’amènent aujourd’hui à rouvrir Bouarf.

J’ai amputé ce blog des derniers commentaires. C’est un choix de modération dont tout administrateur peut user lorsqu’il juge que le contenu n’est pas en adéquation avec ce qu’il désire proposer à ses lecteurs. J’aurais dû le faire il y a 5 mois sans me poser de questions. Mais vous connaissez la métaphore de la goutte d’eau, j’avais beaucoup de soucis à gérer dans ma vie réelle à l’époque et en voir s’en rajouter virtuellement était bien la dernière chose pour laquelle j’avais de l’énergie à dépenser.

Ce site a été créé avant tout pour faire sourire, quelques fois pour faire réfléchir, le tout dans une ambiance sympathique. La question que se pose, un jour ou l’autre, tout blogger persévérant c’est : comment éviter les débordements ? La formule de Viabloga pour laquelle j’ai opté est l’offre collaborative. Elle permet une gestion très fine des groupes, des membres et de leurs droits. Ces options, je vais désormais les utiliser pour la gestion de ce site. En clair, il faudra désormais être membre validé pour pouvoir poster un commentaire. Une contrainte bien légère si on considère que ceux qui commentent sont majoritairement des habitués des lieux. Evidemment ce n’est pas une barrière étanche, mais c’est toujours mieux que rien.

Plus d’une fois, au hasard de mes surfs, je me suis dit : « Ah mince ! Dommage que je n’ai plus mon blog, il y avait de quoi dire là ». Plusieurs fois, au hasard de mes pérégrinations dans la vie réelle, la même réflexion m’est venue.

Autant dire que je vous reviens avec un stock d’observations et de constatations, qui se transformeront au fil du temps, en mots, en phrases, en articles...